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Permanences parlementaires 1er semestre 2016

Les permanences se déroulent en Mairie. (A l'exception de Bourg-St-Andéol et St-Marcel-d'Ardèche)

Une permanence aura lieu tous les 15 jours à Privas sur rendez-vous.

 

Le Cheylard: le mercredi 20 janvier à 10 h

Bourg-Saint-Andéol : le lundi 25 janvier à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)

La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 4 février à 10h

Le Teil : le jeudi 11 février à 10 h

Saint-Martin-d'Ardèche : le lundi 15 février à 18 h

Saint-Marcel-d’Ardèche : le lundi 29 février à 18 h (Maison de services publics)

Bourg-Saint-Andéol : le lundi 7 mars à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)

Le Cheylard : le mercredi 23 mars à 10 h

Le Teil : le jeudi 31 mars à 10 h 

Viviers : le lundi 4 avril à 18 h

La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 7 avril à 10 h

Bidon : le lundi 25 avril à 18 heures

Bourg-Saint-Andéol : le lundi 2 mai à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)

Larnas : le lundi 9 mai à 18 h

Saint-Just-d’Ardèche : le mardi 17 mai à 18 h

Le Cheylard : le mercredi 18 mai à 10 h

Saint-Montan : le lundi 23 mai à 18 h

Gras : le lundi 6 juin à 18 h

Bourg-Saint-Andéol : le lundi 13 juin à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)

La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 16 juin à 10 h

Le Teil : le jeudi 23 juin à 10 h

 

06

Jan

Le chômage n’est pas une fatalité ! PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Pascal Terrasse   


Depuis 5 ans, la France a perdu 400 000 emplois industriels et plus de 800 entreprises ont mis la clé sous la porte. Le chômage atteint des niveaux record. Force est de constater que les solutions apportées par le gouvernement Sarkozy Fillon n’ont pas marché.

 La défausse, le mensonge et le truquage des chiffres sont devenus les seuls réponses du gouvernement face à l’envolée catastrophique des chiffres du chômage.
 
Contrairement à ce que claironne le gouvernement, le chômage ce n’est pas uniquement la faute à la crise. Lors du déclenchement de la crise, le gouvernement n’a trouvé qu’un petit milliard pour endiguer la vague de licenciements. Pire, la défiscalisation des heures supplémentaires, qui coûte 4 milliards chaque année à l’Etat, a détruit 70 000 emplois, selon un rapport de l’Assemblée nationale. Cette disposition n’a jamais été remise en question.
 
Et dans le même temps, précisément au moment où on aurait du investir massivement, les crédits du travail et de l’emploi n’ont pas cessé de diminuer. Ils baisseront de 12% rien que l’année prochaine. Tous les dispositifs de soutien public sont laminés : les contrats aidés (-135 millions), le chômage partiel (réduit de 25%), le reclassement des salariés licenciés (-34,75%), les préretraites (suppression de l’allocation équivalent retraite)…

 
Ce ne sont pas quelques annonces floues sur le chômage partiel à 3 mois des élections, ni la promesse d’une TVA « anti » sociale qui permettront au président de faire oublier son écrasante responsabilité dans ce trou noir qu’est devenue la politique de l’emploi.

Il y a urgence à changer de politique. Ce cancer du chômage ronge et mine notre société. Ce n’est pourtant pas une fatalité. Notre voisin allemand, par exemple, lui, n’a jamais connu un taux de chômage aussi faible.

Des solutions existent.

-          Il faut redonner à notre industrie toute sa place par une politique industrielle digne de ce nom dont les leviers sont une Banque publique d'investissement sous forme de fonds régionaux, un livret d'épargne industrie, l'indispensable sécurisation des parcours professionnels par la formation initiale et continue.

-          Relancer les dispositifs de soutien public (emploi d‘avenir, contrat de génération)

-          Mettre la formation des chômeurs au cœur des dispositifs de Pôle Emploi

-          Mettre  un terme à la défiscalisation des heures supplémentaires qui ont fait tant de mal à notre pays.

Ces propositions sont au cœur du projet porté par François Hollande. Cette année 2012 doit être celle du changement. A force de chômage, de précarité, notre société se détricote. Il y a urgence à redonner un espoir et un horizon à nos concitoyens les plus en difficultés. Et pour cette ambition, la lutte contre le chômage doit être la première des batailles à mener.


Le chômage n’est pas une fatalité !
 
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